Elrond
Seigneur d'Imladris / Porteur d'un Anneau de Pouvoir donné aux Elfes
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Date d'inscription : 20/01/2010
Age : 27
Localisation : Vous voudriez bien savoir hein :p
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 | Sujet: Re: Elrond à Rivendell  Mar 26 Jan - 19:31 | |
| Le conseil regroupait Elrond, Haldir, Celeborn, Galadriel, Glorfindel, Thranduil et Legolas chez les Elfes. Boromir, Faramir, Aragorn, Theoden, Eomer et Halbarad chez les hommes et Daïn, Gloïn, Gimli chez les Nains.Frodon, Bilbon, Merry, Pippin et Samsagace seront les représentants des semi-hommes. Gandalf sera le mage.Beorn était le dernier invité.
Elrond avait tout préparé.Le conseil se déroulerait sur une terrasse près de la basse forêt. La terrasse était grande et nombres de chaises furent disposés.
Le chemin pour rejoindre la chambre secrète était totalement dissimulé par maintes racines ,réels cette fois qui éloignaient les mauvais regards.Elrond était content de sa préparation et de sa nouvelle armée.Le nouveau conseil allait étre crée.
Il fut informé de l'arrivé Gandalf vers midi et alla tout de suite l'acceuillir.Il retrouva Gandalf sur son Mearas extrèmement beau et jamais scellé.Elrond admirait Gandalf d'une certaine manière par sa pertinence et son talent qui imposait le respect.Il fut bientôt rejoint par Radagast ,ami des bêtes ,l'istari aussi connu sous le nom d'Aiwendil.Les trois premiers membres du nouveau conseil se saluèrent et Radagast informa Elrond d'un éventuel retard de la part de Beorn ,l'Homme-ours.Elrond était déçu de la nouvelle mais invita tout de même les deux mages pricipaux du bien de s'installer dans le "salon de Gil-galad" en mémoire de l'homme duquel Elrond était le hérault.La pièce rappelait en effet le dernier haut-roi des noldor ,Ereinion.Les paroles de la chute de Gil-galad étaient inscrites en écriture sindarine puis elfique sur toute la longueur de la pièce:
Gil-galad était un roi des Elfes;
De lui, les ménestels chantent tristement:
Le dernier dont le royaume fut beau et libre
Des montagnes à la mer.
Son épée était longue et sa lance aigüe,
Son heaume se voyait de loin; Les étoiles innombrables des champs du ciel
Se reflétaient dans son écu d'argent.
Mais il y a bien longtemps il s'en fût à cheval
Et où il demeure nul ne sait;
Car dans les ténèbres tomba son étoile,
En Mordor où s'étendent les ombres.
La salle était semblable à celle qui tiendrait le conseil mais contenait un plus ample mobilier et un tapis luxueux brodé par Arwen.Deux canapés enserraient une table au milieu de la pièce.Cette pièce très belle servirait de "salle d'attente" avant l'arrivée complète du conseil.
Peu à peu les membres du conseil affluèrent, Beorn n'arriva qu'avant la tombé de la nuit.Elrond avait déja entreprit de montrer leurs appartements aux nombreuses personnes répondant à son appel.Tous étaient venus sans exception aucune, malgré l'énorme retard de Boromir, d'Aragorn et de Faramir qui arrivèrent très tôt le matin porté par les Aigles...
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Boromir
Général des Armées du Gondor / Commandant d'Osgiliath
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Localisation : Osgiliath
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Citation: "Jadis, Osgiliath était lieue de beauté et de musique, et c'est ce qu'elle va redevenir. Jamais cette cité ne retombera dans les mains des Orques. Cette cité a été reprise par le Gondor, pour le Gondor !!!"
| | Sujet: Re: Elrond à Rivendell Mar 14 Sep - 16:08 | |
| "Boromir s'éveillait dans une chambre lumineuse, le soleil éclairait la chambre entière. Il y avait, sur sa droite, ses équipements, accroché sur ce qui semblait être une armoire. En baissant les yeux, Boromir vit qu'il était allongé sur un lit, et que des draps d'une infinie blancheur couvrait son corps. Le lit était chaud, et l'atmosphère de la salle était douce. Boromir ne voulait pas sortir du lit si chaud et douillet ni de la pièce, mais il était de son devoir d'avertir Elrond, ou du moins quelqu'un d'important. Comme si on devinait qu'il sortait de son sommeil, la porte s'ouvrit et Haldir entra."
"Mon cher ami comment vous portez vous ?", dit-il sur un ton très amical. "Non, restez allongé nous vous ferons apporté des vivres, vous êtes notre invité."
"Mon cher Haldir, vous êtes l'homme dont j'ai peut être besoin", déclara Boromir. "Je ne sais si Faramir ou le Seigneur Aragorn sont éveillés car il vous aurait déjà conter notre fuite."
"Pour tout vous dire Boromir, le Seigneur Aragorn dort encore, et Elrond s’occupe de soigner votre frère, sa blessure n’a pas encore guérie. Mais je suis sur qu’il s’en remettra", s’empressa-t-il d’ajouter en voyant Boromir amorcé un mouvement pour se lever.
"Il faut que j’aille le voir, dit-il tout en se levant. Où…est… marmonna t-il avant de se rasseoir.
"Doucement Seigneur Boromir, vous non plus vous ne vous êtes pas remis entièrement", dit-il aimablement. Mais d’ailleurs j’aimerais savoir ce qui vous à frapper aussi durement trois hommes vaillants. Pouvez-vous nous faire le récit de votre mésaventure ?"
"Nous étions partis de Minas Tirith très tôt, le matin même et nous avons continué ainsi jusqu’à tard dans une nuit obscure, cachant les étoiles. Nous n’avons fait aucune halte avant d’avoir trouvé une clairière à proximité de l’eau. Nous nous sommes ensuite séparé en trois, Aragorn est parti dans la forêt à la recherche d’un gibier, Faramir est resté afin de préparer le camp et je suis parti cherché du bois pour faire un feu. Je suis revenu quelques minutes plus tard pour apporter ma première récolte de bois suffisante pour produire un bon feu… Maintenant je me rends compte de notre stupidité, nous nous sentions suivis et nous avons pris quand même le risque d’allumer un feu."
"Allons, ne vous trouvez pas tous les torts Boromir, et poursuivez votre récit", ajouta aimablement Haldir.
"Nous avons donc allumé un feu. Je suis reparti dans la forêt afin de ramener une petite réserve de bois. J’étais toujours à la recherche de bois lorsque j’ai entendu un cri. Je me suis aussitôt arrêté et j’ai lâché les feuilles et le bois que j’avais entre les mains. Il n’y avait aucun mouvement, le vent lui même semblait s’être tût. Puis tout aussi soudainement, la pluie fit son apparition engendrant la foudre qui s’abattit sur des arbres proches. Je me précipita à notre campement mais je m’étais éloigné du sentier. Une fois arrivé au campement un nouveau cri fut poussé et je vis jaillir les Nazgûl. Faramir se battait déjà avec le Roi-Sorcier et après une parade, des flammes sorties de nulle part se dirigèrent vers son abdomen et Faramir tomba à terre, il était inconscient. J’ai réagit immédiatement, j’ai soufflé trois fois dans mon cor, puis j’ai prit une souche et j’ai enflammé sont extrémité. Je me suis élancé vers eux. Je parais inlassablement, cherchant la moindre faille de leur part. Quand je parvins à détourner un puissant coup, je saisit l’occasion. Les flammes se propagèrent sur la tunique sombre d’un Nazgûl et ce dernier s'enfuit dans la nuit. Les Nazgûl se rapprochèrent et leur Seigneur envoya deux Nazgûl à ma rencontre, je pense qu’il voulait me tester. Je recommença mon opération et parvint à en enflammé un. Au moment où j’allais vaincre l’autre Nazgûl, la masse du Roi-Sorcier fendit l’air et frappa de pleine force le flambeau qui se brisa. Sa force était inimaginable, la violence du coup m’avais courbé. Alors que le Roi-Sorcier levait une nouvelle fois sa masse, Aragorn surgit. Il désigna Andúril est les Nazgûl crièrent. Ils frappèrent en même temps et Aragorn para. Je lui vint en secours immédiatement et ensemble nous résistâmes. Les Aigles apparurent soudain, dès les premières lueurs de l’aube. Ils nous prirent dans leurs serres et s’envolèrent majestueusement. J’ai aperçu des Coursiers Ailés avant de tomber endormi. J’étais vraiment épuisé…"
"Boromir, mon cher, vous avez été vraiment épatant. Soyez fier de vous, vous venez d’accomplir une bien grande tâche. Vous méritez amplement votre repos. Je vais m’entretenir avec le Seigneur Elrond, reposez-vous."
Haldir sorti de la pièce. Boromir resta sur le lit, perdu dans ses pensées. Il resta ainsi pendant près d’une heure. Ses pensées le menèrent brusquement à son frère, Faramir. Il se leva précipitamment et se dirigea vers la porte. Mais quelqu’un venait de l’ouvrir au même instant. Elrond s’avança dans la pièce, sous le regard surpris de Boromir.
"Boromir, Haldir vient de me conter vos faits. Vous avez été remarquable", commenta Elrond, le visage réjoui." Mais malheureusement, le fait que l’Ennemi soit au courant de votre départ ne peut rien présager de bon, dit-il la mine devenu soudainement sombre. Vous en apprendrez plus au Conseil qui a lieu ce soir. Faramir vient de se rétablir entièrement, vous pouvez enfin le voir, il discute actuellement avec Aragorn. Suivez-moi je vais vous montrer leur appartements."
Boromir suivit Elrond qui descendit un escalier. Il tourna ensuite à droite et s’arrêta devant une pièce spacieuse, baigné d’une lueur agréable. Boromir entra, précédé par Elrond. Aragorn et Faramir interrompirent leur discussion et se jetèrent dans les bras de Boromir. Elrond les laissa dans leur bonheur et sorti discrètement de la pièce. Ils restèrent ensemble toute la journée, discutèrent de ce qui c’était passé la veille, parlant de tout et de rien. Alors qu’ils continuaient de se demander ce qui avait contribué à réunir le conseil, ils furent interrompu par l’arrivé d’un Elfe leur informant que le conseil allait commencer. Ils prirent leur équipement et le suivirent. Faramir était émerveillé et Boromir lui même regardait avec une très grande attention la décoration des lieux, sa première visite ne l'ayant pas permis. Ils passèrent plusieurs pièces et se retrouvèrent devant un balcon. Boromir aperçu les sièges et en déduit que le conseil aurait lieu dehors, sous une douce nuit, éclairée par de nombreuses étoiles scintillantes. L’Elfe continua sa route et prit l’escalier, les menant à la terrasse.
*"Cette demeure est un vrai labyrinthe, comment les Elfes font-ils pour s’y retrouver ?"*, se dit-il.
Mais ses pensées furent bien vite dirigé vers les nombreux arrivants du conseil. Boromir reconnut des membres de leur communauté, et d'autres personnages très importants. Elrond s'assit et tout le monde le suivit. Boromir prit place entre Aragorn et Faramir. Elrond fit les présentations, et chaque personne se levait lorsque son nom était prononcé. Une fois les présentations faites, Elrond se leva et le silence redevînt total.
"Amis de toujours, et bien que de races différentes, je vous souhaite à tous la bienvenue à Imladris. Je ne sais lesquels d'entre vous était présent ou non présent lors du premier conseil mais le fait qu'un nouveau conseil est lieu ne peut rien présager de bon et je sais que certains l'ont compris ainsi. Oui, l'heure est au plus sombre, car Sauron est de retour. Le Seigneur des Ténèbres est revenu, par un moyen maléfique, abject. Nous ignorons encore par quel moyen mais nous avons quelques idées. Il semblerait qu’il est créé un nouvel Anneau, aussi puissant que l’ancien et le seul moyen de le détruire reste le même. Le Seigneur des Ténèbres regroupe déjà ses anciens et nouveaux partisans. Actuellement des hordes de créatures maléfiques parcourent nos terres, foulent le sol de leurs immondes pieds."
"Je ne peux tolérer cela !" , s'exclama Beorn, sa voix semblable à un coup de canon, sous l'effet de la colère."Ces Orques et Ouargues ne marcheront jamais librement sur mes terres tant que je serais vivant !"
"Il ne s'agit pas seulement d'Orques ou de Ouargues, des créatures à la peau plus sombre et à plus grande taille appelé communément Ourouk-Haï sont de véritables monstres de guerres, capables de se déplacer au grand jour. Ils sont beaucoup mieux équipés et ont une grande puissance", fit remarquer Boromir.
"Puis il y a les Trolls, et l’Isengard à rallié les Hommes Sauvages de Dun à sa cause. Et aux dernières rumeurs, Sauron aurait fait de même avec les Hommes de l'Orient, soit le Rhûn, le Harad, l'Umbar et le Khand", ajouta Aragorn.
Il y eut un bref instant de silence, rompu par Merry qui releva lentement la tête.
"Quand vous dites ancien, que voulez-vous dire ?", questionna-t-il."Car nous avons vu Boromir mourir sous nos yeux, mon cousin et moi-même par ces créatures à la peau sombre."
"Ce que Elrond veut dire par ancien, maître Meriadoc, c'est que nombre des morts de cet Age sont revenu à la vie par un moyen quelconque", répondit Gimli."Ainsi dont Boromir, Théoden et bien d'autres sont revenus à la vie. Connaissant la malice de Sauron, il en va probablement de même pour son camp..."
Cet inquiétant exposé fut interrompu par l'Elfe qui avait conduit Boromir et ses deux compagnons. Il s'approcha d'Elrond qui lui fit un léger signe de tête. Puis il se retourna vers les membres du conseil. Il avait une mine très sombre.
"Des éclaireurs Elfes placé en observation viennent de nous rapporter que la cité de Carm Dum reprend du service, leur terrible Seigneur fortifie de nouveau sa cité", raconta-t-il."Ses forces seront bientôt au complet. Et une rumeur incertaine serait que le Roi de Rhûn aura été renversé par un coup d’était et que le nouveau Roi aura changé de manière brutal le nouveau régime, qui serait basé sur la guerre"
"Si l'Angmar recouvre sa puissance d'antan, nous ne pourrons tenir", déclara Elrond."Il faut donc nous unir une nouvelle fois pour vaincre l'Ennemi. C'est pourquoi mon peuple et les rares personnes m'ayant accompagnés des Terres Immortelles sont revenues, afin d'en finir une fois pour toute. Nous avons été mandé par le Roi Elessar, qui nous a brièvement raconté l'épisode en Mordor, mais qui a été aussi conté aux personnes non présentes d’après ce que je sais."
"Les choses se répètent encore, et elles sont toujours plus sombres. Un nouveau Roi de Rhûn ! Voilà une bien sombre nouvelle. Je vais devoir redoubler de vigilance, mon royaume est en danger. Je vais surveiller attentivement mes frontières", affirma Dáin, la colère montant en lui.
"Il faut agir dès maintenant. Il faut surprendre notre ennemi", suggéra Gimli.
"Gandalf vous êtes toujours aussi sage et aussi avisé, pourrez-vous nous aider dans cette tâche ? Pourrons nous compter sur vos conseils, une fois encore ?", demanda Legolas.
On entendit très clairement un murmure sur le fait que Gandalf avait coutume d'arriver avec des nouvelles de malheur et de danger.
"Pour répondre à cela, je dirais que je ne viens guère que lorsque mon aide est nécessaire", répondit Gandalf l'instant d'après."Tâchez donc de vous en souvenir... Comme le suggère Dáin, si nous devons nous préparer pour contrer l'Ennemi il nous faut un plan."
"Que suggérez-vous, Mithrandir ? Devenons nous déclarer ouvertement la guerre à notre Ennemi ?", demanda Halbarad.
"Elle est déjà déclaré, dû moins d’une certaine manière. Car Sauron considère qu’il est temps pour lui d’anéantir les Peuples Libres et de régner sur toute la Terre du Milieu. Il frappera bientôt et très brutalement. Ses fidèles Nazgûl sont de retour, et nous avons la preuve qu’ils se soient manifestés. Il ont attaqué dans le courant de la nuit, trois des hommes qui représentent le Gondor, Aragorn, Boromir et Faramir. Ils sont arrivés dès l’aube, au petit matin", déclara Elrond.
"Hélas, que faire ? Qu’allons nous faire contre ces menaces qui grandissent tout en nous terrifiant ? Devenons-nous battre ? Devons-nous frapper en premier ?", interrogea Théoden.
"Il faut attendre, Sauron ou un de ses alliés doit porter le premier coup. Nous réagirons en conséquence. Nous devons d’abord savoir la tactique qu’utilisera notre ennemi. Nous devons attendre…", dit calmement mais résolument Celeborn.
"Attendre ?", dit Glóin d’une voix forte et dont l’idée lui semblait complètement folle et insupportable. "Nous devons attendre que l’Ennemi soit devant les portes de nos royaumes avant de faire quoique ce soit ? Nous devrons attendre que l’Ennemi est assassiné nos frères, nos cousins ou notre famille avant de tenter quelque chose ?"
"Il y a du vrai dans ce que dit Maître Glóin. Nous ne pouvons laisser notre peuple mourir", approuva Éomer.
Il eut un instant de silence puis chacun se leva et prononça bruyamment son idée, Gandalf se tourna vers Elrond et soupira.
"Hélas je crois que nous ne trouverons pas de terrain d’entente, ainsi donc chacun fera ce qu’il désirera", déclara Glorfindel, sa voix posée mais que l’on entendit distinctement malgré le vacarme." Mais sachez que nous regretterons profondément ce choix, tôt ou tard. Le but de se conseil était de se réunir, de se souder les uns aux autres, et non de s’éparpiller comme nous le faisons. Notre dissolution fera notre faiblesse, notre solidarité une force, souvenez-vous en…"
Le Conseil prit fin quelques heures plus tard, sans avoir pu trouver une solution. Il faisait froid et tous les invités furent invités à rentrée dans la demeure. Boromir entra dans la pièce du Feu, il voulait être tranquille pour avoir l’esprit clair. Il y demeura longtemps, calme en écoutant quelques fois les douces paroles des ménestrels elfes. Leurs chants étaient magnifiques. Lorsque l’heure du départ fut annoncé, Boromir se leva lentement, il était toujours difficile de sortir de cette magnifique salle, le temps défilait à une vitesse incroyable sans qu’on ne le remarque. Il usa de toute sa volonté et sortit de la pièce et se reposa un instant tout en soupirant sur le balcon. Il avait hâte de retourner au Gondor, il avait déjà choisit comme se préparer à toutes ces menaces. Il reprit donc la route avec son frère et leur Roi. | |
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