Le devoir d'un Dunedain

Halbarad avait chevauché plusieurs heures, seul, dans les terres sauvages de l'Eregion.

La compagnie grise s'était séparée afin que chacun aille dans plusieurs directions et endroits aidé les faibles.

Cela faisait plus de deux jours que Halbarad n'avait pas manger ni pu se reposé. Mais le Dunedain ne pensait pas à tout cela, il continuer sa route dans l'endurance
jusqu'à qu'il arrive à accomplir son but.

Pourtant dans la soirée il décida de faire une halte et de se reposé pour cette nuit. Il pris son arc et alla chassé le gibier dans la forêt pour son dîné de ce soir.
Il avancé dans les brousailles si discrètement que si on était à trois mètres de lui, on ne l'entendait pas.

Il aperçut un pommier non loin, il avanca jusqu'à l'arbre et y cueilli une pomme bien fraîche et juteuse, quelles étaient des les terres sauvages.
Il décida de rester ici à côté de l'arbre à couvert et camoufflé sous les brouisailles pour pouvoir bien tendre un piège à sa prochaine cible.

Il attendit dix minutes, en dégustant sa délicieuse pomme, quant soudain un beau cerf apparut à travers les arbres. Il brouttait l'herbe tranquillement sans prendre
conscience du danger.
Halbarad après avoir vu ce bel animal, prit son arc en main et une flèche de l'autre. Il préparé à encoché sa flèche, étant précis et discret il avait toute les chances
d'avoir un bon festin pour ce soir.
Halbarad tira d'un seul coup et visait juste. La flèche suivit sa trajectoire jusqu'à la nuque du pauvre animal, qui s'écroula mort.

Halbarad courut voir si il était bien mort, il empoigna son couteau pour décortiqué la peau et le reste.
Il finit par arriver à son camp avec son trophé de chasse. Le soleil commencé à se couché dans le ciel, les premières étoiles apparurent.

Halbarad pris deux pierres et fit un bon feu pour cuire la viande bien tendre. Ce soir là ce fut un festin pour lui, il avait en même temps ramené des pommes du grand arbre qui l'avait bien camoufflé.
Halbarad pensait à la compagnie grise, à son ami Aragorn et à l'ancien royaume d'Arnor. Il fermit les yeux et plongea dans un profond sommeil.

C'était l'aube et Halbarad se réveilla après avoir bien dormis. Un ruisseau se trouvé à côté de la clairière, Halbarad se rincait le visage et buvait une gorgée d'eau.
La clairière était verdoyante, on aurait crut ce jour là une matinée de printemps. Les petits oiseaux chantaient en donnant à manger à leurs petits. C'était un hâvre de paix.
Quant soudain le cheval d'Halbarad se mit à hennnir, Halbarad le carressait avec tendresse et compassion lui disant: "Ce n'est rien l'ami, calme toi."
Le cheval se sentait soulagé par son maître, car les Dunedain étaient de grands amis des bêtes. Ils avaient toujours su comment dresssé un cheval et l'aimé.

Halbarad prêta soudain une oreille attentive, son cheval n'avait pas eu tort de le prévenir, car justement il entendit un bruit au loin. Des cris et des hurlements se fit entendre.
Dans un empressement, Halbarad s'équipait de son épée et de son arc, se disant qu'on l'appelé et qu'on avait besoin de lui, qu'on avait besoin d'un héros Dunedain prêt à sacrifié sa vie pour sauvé les innocents.

il suivit les cris jusqu'à ce qu'il arrive à l'orée de la fôret. Là se trouvé une bande d'hommes pas très fréquentables, armés de boucliers et d'épées. A côté d'eux se trouvé une jeune femme au visage angoissé et triste se disant que personne ne pouvait lui venir en aide.

L'un des bandits certainement le chef de la bande cria avec rage: "Donne nous tout ton argent femme, ou tu pourras dire adieu à ton village et à toute ta famille!"

La femme hurla avec pitié: "mais puisque je vous dis que je n'est rien sur moi!"

"Tanpis pour toi, on t'aura prévenu !"

Le bandit avait commencé à chargé sur elle, quant une flèche s'abbatit en pleins sur sa tête. Les autres brigands se retournèrent et virent Halbarad sortir de sa cachette.
Il dégaina son épée avec force et noblesse:
"Laissé tranquille cette femme et son village, elle vous as bien dit qu'elle n'a pas d'argent sur elle!"

"Pour qui te prend tu en essayant de sauvé la vie de cette femme et pour qui te bats-tu, soit tu vas mourir!"

"Je me bats pour une cause que tu ne peux comprendre bandit, si vous songez à m'affronté vous apercevrez que je suis un adveraire redoutable."

"C'est ce qu'on va voir!!" Le premier brigand fonca sur Halbarad, celui-ci para son coup fit deux enchaînements simples et précis qui mit à terre son adversaire mort.

Les autres hésitèrent avant de se lancé à l'attaque. Halbarad esquivait, parait, contre attaqué aucunes lames ne l'avait encore touché, si ce n'est seulement la pointe de sa belle épée d'Arnor. Tous les bandits qui s'étaient précipitaient sur Halbarad sans réfléchir furent vite mis à terre.
Seul un bandit était rester en arrière prenant la fille en otage. La pauvre enfant qui était soulagé de voir son héros la sauvé, n'avait pas pris garde à ses arrières.

Halbarad pointa son épée vers le bandit: "Relâche-là ou tue là et tu mourras de la même façon."

"Cette fille compte beaucoup pour toi heins ? Tu ne supporterais pas que le sang d'un innocent soit versé ?"

Halbarad hésita un moment et réfléchis comment le persuadé. Quant tout à coup il vit discrètement que la fille s'était emparé de la dague du bandit qui se trouvé dans un petit fourreau accroché à sa jambière, sans que celui-ci en s'en aperçoive.

Halbarad dit enfin: "Allons regarde bien ce doux visage innocent, compte-tu réellement la tuer de tes mains souillées par le sang."

Le bandit dans sa cupidité et sans prendre garde, retourné la jeune fille vers lui, et regardé son beau visage.

"Pourquoi ne devrais-je pas la tuer selon... humpff!"

Halbarad avait réussi son plan, la jeune fille transperca le ventre du bandit avec sa propre dague. Celui regarda la fille un moment puis s'écroula en arrière.

La jeune fille se retourna et vit son héros lui sourire amicalement en rangainent son épée.

Elle courut à lui: "Que les Valars soient loués, vous êtes arrivé juste au bon moment, merci du fond du coeur!"

"Il n'y a pas de quoi ma dame, j'ai accomplis aujourd'huis ce que je devrais toujours accomplir, et cela je le fais pour tout hommes et femmes en danger."

"Je ne sais pas comment vous remercié et vous récompensé pour votre bravoure, vous le savez je n'est pas d'argent sur moi et mes parents et moi sommes très pauvres au village."

"Ne vous en faites pas d'habitude je n'accepte aucune récompenses car vous en avez bien plus besoin que moi."

"Vous faites preuve d'une grande bonté de coeur Homme, puissiez-vous être bénis pour cela."

Halbarad baissa la tête puis sourit de nouveau à la fille avec compassion. Il s'en retourna à son camp ou il avait laissé son cheval.

"Au fait je m'appelle Inhym et vous comment vous appelez-vous et qui êtes vous ?"

Halbarad ne répondit rien, car les Dunedain aimaient guèrent révélé leur véritable identité.

"Pardonnez-moi, fit la dame d'un air gêné, cela ne me regarde peut être pas, oublier ce que j'ai dis."

"je suis Halbarad Dunadan fit remarqué le rôdeur, membre de la Compagnie Grise et fidèle et grand ami du roi Aragorn." Il se retourna vers la dame: "Je suis un Dunedain".

La femme impressionné par sa véritable identité dit: "Vous êtes un rôdeur Dunedain, un homme bénie d'une longue vie, j'aurais du m'en douté. On dit que votre peuple est rentré dans la légende et qu'il ne reste plus rien d'Arnor. On dit également que les dunedains sont considéré comme des héros du moins ceux qui ont survécu et qui vivent toujours."

"C'est vrai ma dame dit-il avec une grande courtoisie, notre royaume à longtemps était ravagé par les armées du Roi-Sorcier d'Angmar, il ne reste maintenant presque plus rien des Dunedains, si ce n'est qu'un petit groupe de "héros" comme vous les appelés et dont j'en suis le capitaine. Nous voyagons jours et nuits tantôt de sauvé et de défendre ce qui peut l'être. Et maintenant que notre anciens capitaine est roi, il fait tout de son possible pour défendre ses terres."

"Vous voulez parlé du Seigneur Aragorn, à ce qu'il paraît il serait partis de Minas Tirith pour aller à Fondcombe ou un conseil d'Elrond doit avoir lieu. Il était accompagné
du Général Boromir et du capitaine Faramir. D'après les dires, Faramir aurait était grièvement blessé par une de ces créatures des ténèbres appelé Nazguls."

"Comment! dit supris Halbarad, Aragorn ne m'en avait pas informé."

Arrivé au campement, Halbarad monta son destrier.

"Où allez-vous dit la dame ?"

"je dois retrouvé mes compagnons et le seigneur Aragorn au plus vite, si Faramir à été frappé par une lame de morgul de ces sinistres créatures, cela signifie que le Seigneur des Ténèbres sait ce que nous préparons à faire."

"Vous partez alors s'enquit de dire la dame d'un air triste ?"

"Il le faut dit Halbarad, mais ce que je suis sûr c'est que un jour le monde retrouvera ses couleurs et ses merveilles, le mal disparaitra je vous le promet. Vous saurez retrouvé votre chemin à votre village ?"

"Oui ne vous en faites pas pour ça, maitre Dunedain."

"Alors adieu ma dame, ce fut un plaisir de vous avoir rencontré et peut être qu'un jour nous nous reverrons."

"Si vous le dites, alors nous nous reverrons dit la dame."

Ils se regardèrent un moment l'un l'autres reflétant leur pensées, et Halbarad enfourcha son destrier prêt à chevauché pour Fondcombe.