Ce récit se passe après le ralliement à la cause de Saroumane des Hommes sauvages.
Flash Back dans la Tour d'Orthanc :
Saroumane me dit: " Bien Sharcoux tu garde ton grade tu as mérité cela car maintenant que les Hommes sauvages sont avec nous, nos forces sont plus nombreuses et plus puissantes."
" Maître. Quand aurai-je ma prochaine mission je suis impatient de remplir une mission et quand vous me donnerez une nouvelle armée ? " dis-je à mon maître.
" Ton armée est prête et ta mission est de positionner ton armée et tu devras être avec eux sur les gués de l'Isen du côté Isengard et tenir. Il faudra que tu préviennes si des maudits Rohirrims viennent s’aventurés. Je prépare un plan et tu resteras avec ton armée jusqu'à que tu reçoives un nouvel ordre venant de moi et transmis par un messager." m'ordonna Saroumane
" D'accord maître, et aurais-je le droit de tuer ce messager car si aucun Rohirrims se pointent, ma lame s'ennuiera..."
" Tu en feras ce que tu voudras. Mais je pense que tu ne t'ennuiera pas car déjà il faut que tu entraîne cette nouvelle armée car la plupart sont nés la semaine dernière et il y a deux semaines. Il faut que tu les entraînes à tenir leurs rangs. Mais c'est fort probable que des Rohirrims viennent vous attaquer mais il ne savent pas combien vous êtes et installez moi un camp là-bas !"
( fin du flash back ! )
Nous étions arrivés dans les gués de l'Isen. Mes soldats avaient déjà installer leurs tentes. Mon Second me suivait partout où j'allais et je ne faisais confiance qu'à lui et aux 2 chevaucheurs qui m'ont suivis jusqu'au bout. Je sais que je ne vais jamais les tuer car ils ne me décevront jamais. Sinon tous les autres soldats, n'étaient que des pions sur un échiquiers et ceux qui ne me décevaient pas pouvais monter en grade et peut être avoir ma confiance mais cela était très rare.
J'ordonnais aux 4 soldats qui me suivaient eux aussi partout ( comme mon Second et mes 2 chevaucheurs auxquels je faisaient confiance ) de sonner le cor pour se rassembler car ces 4 soldats étaient les seuls à tenir les 4 étendards et ayant le cor de l'Isengard tout en étant sur des Ouargues. Sinon il y avait d'autres soldats qui portaient l'étendard et le cor mais il étaient dans les autres unités ( comme les piquiers, arbalétriers... ).
Tout le monde se tenaient en position et j'inspectais donc avec mon " escorte " les premiers rangs de chaque unités. Je commençai par les Ourouk-Haï épéistes.
" Rat puant, tu sors du rang, si tu sort du rang tu pourrais nous faire perdre la position qu'on a et même la bataille donc tu n'es pas utile ici alors viens voir ! "
Puis je pris ma dague et je lui enfonça dans son cou et du sang noir jaillissait de son cou et son corps tomba dans l'eau qui coulait. On voyait le sang noir se propager dans l'Isen.
Il y avait des Ourouks qui n'étaient pas en position donc ils crièrent et se retournèrent vers moi puis se mirent en rang.
" Tu crois que je ne t'ai pas vu, tu n'es toujours pas en rang pouilleux ! "
Il tomba raide, avec sa pique toujours dans sa main. Il était mort sur le coup.
[2 heures plus tard]
J'étais à la dernière unité qui était mes chevaucheurs de Ouargues. Ils étaient ceux qui étaient les mieux entraînés dans mon armée tout comme mes Ourouks d'élites. Ils sont surentrainés, les Ouargues sont choisis selon 2 critères : leur rage au combat, et leur intelligence.
Je regardais attentivement l'allure des Ouargues, ils savaient se tenir en rang et les chevaucheurs savaient se mettre en rang en étant sur leurs Ouargues. Ils étaient fiers de combattre désormais à mes côtés mais ils étaient peu nombreux. Alors j'espère que leurs rangs grossiront.
J'ordonnais aux cors de sonner pour aller s'entraîner.
Je regardais comment s'entraîner mes nouveaux chevaucheurs, j'en étais fier. Ils allaient m'être utile pour peut être les prochains combats contre ces maudits Rohirrims.
Ensuite j'allais voir les arbalétriers. Il y en a un n'avait plus son casque et je n'aimais pas que mes soldats quand on va au combat, quand on s'entraîne ou que je sonne le rassemblement, n'enlève un élément de son armure car on peut se faire attaquer à tous moments. Alors je sortis mon épée de son fourreau et je m'approcha de lui puis je lui rentra mon épée dans son ventre. Elle lui traversa tout le corps et sortis par son dos. Les autres Ourouks me regardaient alors je répondis :
" Reprenez votre entraînement, cet vermine d'Ourouk ne savais pas s'entraîner selon mes règles. Si un seul de vous tous fais la même chose, il subira le même sort. Ou peut être pire. "
Ils reprirent leurs tâches et j'avais l'impression que désormais ils me respectaient. La nuit commença à tombée et j'avais poster des sentinelles le long du camp. Toutes les heures ces sentinelles étaient remplacées par d'autres. Puis dans ma tente une petite idée me parcourus la tête.
J'ordonnais à mon messager de dire à Saroumane de construire des tours de gardes le long des frontières de notre pays, sur les frontières du Rohan, de Fangorn et aussi autour du pays de Dun pour prévenir en cas d'attaque ou autre ...
Puis je partis et la nuit passa.
Lun 16 Mai - 17:38